Histoire de thé - impôts et contrebande au 18ème siècle Angleterre
Depuis son introduction au monde occidental, le thé s'est développé dans la popularité et est maintenant la deuxième boisson populaire dans le monde après l'eau. Dans tout son thé d'histoire la demande a considérablement augmenté en raison de son bon goût, santé et propriétés médicinales et canaux de plus en plus efficaces de production et de distribution.
Peut-être l'avantage le plus important pour le buveur consommé de thé est l'aura de la bonne réduction de sentiment et d'effort.
La production et la distribution de thé sont devenues de grandes affaires dans le monde entier en tant que les individus entreprenants et compagnies investis dans des plantations de thé et des capitaux de distribution pour satisfaire la demande croissante en thé. Pendant que les affaires augmentaient, les gouvernements nationaux ont commencé à regarder le thé comme source valable de revenu. Le règlement et l'imposition de gouvernement souvent ont eu un effet néfaste sur la satisfaction libre de commerce et de client cependant.
La croissance de popularité du thé dans un pays tel que l'Angleterre, un pays dont la culture de thé est bien établie, prévoit une étude de cas viable sur les influences sociales et fiscales sur la consommation du thé.
Pendant le seizième siècle en Angleterre, le thé est devenu une boisson populaire principalement pour les classes aristocratiques. Basé sur un goût et une réalisation uniques des prestations-maladie de thé, des canaux de distribution plus efficaces se sont ouverts. Bien que les importations aient été au commencement lentes, un arrangement croissant des avantages de style de vie du thé a accéléré cette croissance dans le 18ème siècle.
Pendant ce temps, l'imposition, la contrebande et l'adultération du thé sont devenues des facteurs significatifs dans la culture anglaise de thé.
Considérant le thé un luxe tropical, le gouvernement anglais a vu revenu-soulever des occasions dans le thé de placer un habillage militaire qui a soutenu l'expansion de l'empire britannique. Par le 18ème siècle, le thé était une boisson énormement populaire en Grande-Bretagne mais, au consommateur journalier, il était également prohibitivement cher. La contrebande de thé est devenue une industrie en expansion en Angleterre pendant que les contrebandiers profitaient pendant qu'ils satisfaisaient la demande du thé plus à prix réduit en ignorant des droits de douane accablants.
Ceci a créé une demande parmi la population britannique pour le thé meilleur marché ; quand cette demande ne pourrait pas être satisfaite par voies légales, une grande occasion a été présentée à ces gens qui étaient moins que préoccupée par casser la loi. Du début du 18ème siècle, les échanges du thé passé en contrebande se sont épanouis.
Le thé passé en contrebande était cela qui a été introduit dans le pays illégalement - il n'a pas été importé par East India Company et il n'a pas traversé des coutumes. Étant léger et facile à transporter, le thé était un produit très profitable de contrebande - encore plus que l'alcool en lequel il y avait également un commerce sain de contrebande.
L'état a besoin d'argent
Comme n'importe quel état, le 18ème siècle Angleterre n'était aucune exception à la nécessité de soulever le revenu. Le mercantilisme était la politique anglaise et une présence militaire a été exigée pour soutenir le rôle anglais en colonies et possessions d'outre-mer. L'expansion d'intérêts du monde exige deux choses : un militaire fort et fonds pour soutenir des activités militaires.
L'état cherché à droits d'entrée et des droits de régie comme manière de soulever les fonds nécessaires ; ces impôts sont bientôt devenus excessifs. Le gouvernement a dû légitimer l'impôt et a fait ainsi en traitant le thé au commencement comme « luxe » qui pourrait soutenir des fonctions élevées aux yeux du public. Plus tard, cependant, le thé a été correctement classifié comme « nécessité » qui soutiendrait seulement des niveaux plus bas de l'imposition. Avant que l'acte de réforme d'impôts de 1784 par exemple, le prix du thé ait été chargé des impôts et des taxes de plus de 100% du prix de prétaxation.
En outre, bien que l'approvisionnement en thé continué pour augmenter pendant que les plantations de thé devenaient plus productives, le prix soit resté haut pendant que les approvisionnements artificiellement manoeuvrés d'East India Company (accordée un monopole sur des importations de thé par le gouvernement anglais) pour maintenir des prix.
Les impôts élevés et l'approvisionnement manoeuvré mènent à la contrebande comme industrie en expansion
Un modèle s'est développé dans le commerce anglais dans le thé. Pendant que des impôts étaient augmentés sur des importations de thé, faire de la contrebande a augmenté dans une tentative réussie de rencontrer la croissance fondamentale de la demande. Mais la contrebande et les impôts élevés ont eu un rapport direct et ont produit un effet négatif sur l'économie anglaise et la population dans son ensemble.
Bien que l'imposition soit importante pour soulever le revenu, la plupart des économistes ont reconnu que l'imposition élevée a encouragé la contrebande et aussi que la quantité de thé étant passé en contrebande a été directement liée au niveau du devoir a prélevé sur les importations légales de thé. En Angleterre, au début du 18ème siècle, la nécessité du gouvernement de financer une guerre en Espagne menée à une augmentation de l'imposition sur le thé et au prix des feuilles a monté nettement.
L'impôt a été considéré indigne et rempli de combustible les activités des contrebandiers de thé. Le devoir plus tard a été réduit par Henry Pelham en 1745, qui a signifié que plus de thé a été légalement importé ; la quantité passant par les douanes plus que doublé et l'augmentation des importations de thé sur lesquelles le devoir a été payé réellement mené aux revenus du gouvernement à partir du thé étant augmenté.
Cependant, dans le 1750s, la nécessité de financer une autre guerre a mené à une autre augmentation du devoir sur le thé. Ceci, à leur tour, a mené à une montée subite dans les affaires des contrebandiers, qui ont continué à prospérer tout au long du troisième trimestre du 18ème siècle.
Bien qu'illégal, les contrebandiers ont eu l'appui des millions de personnes qui ne pourraient pas autrement se permettre d'acheter le thé.
Beaucoup de thé a été passé en contrebande dedans de l'Europe continentale, embarquée dans la Grande-Bretagne par l'intermédiaire des îles de la Manche et l'île de l'homme. Bien que la contrebande ait été répandue, dans les premières décennies du 18ème siècle plusieurs des contrebandiers eux-mêmes ont opéré une échelle très petite. Une masse de contrebandiers a utilisé leurs propres petits bateaux en lesquels le thé de contrebande a été alors vendu aux contacts personnels et aux commerçants locaux. La contrebande est devenue une industrie familiale.
On lui a largement reconnu, à ce jour, que la seule manière d'aborder le problème de contrebande était de rendre le thé meilleur marché - en effet, pour réduire le devoir payé là-dessus. Par conséquent, East India Company, qui a eu les alliés puissants au Parlement britannique, a incité pour que le devoir soit abaissé. La puissance du monde de corporation a été ainsi ajoutée à la demande populaire du changement permanent de l'impôt de thé.
Il était quand William Pitt plus est devenu le premier ministre en jeune 1783 que le travail des forces de devoir d'anti-thé a finalement réalisé leur but. En tant qu'ancien chancelier du ministère des Finances, Pitt était au courant de politique fiscale et de l'impact des impôts élevés sur la recette fiscale. Il a compris que cela le soulèvement du taux d'imposition fiscal a souvent eu comme conséquence la recette fiscale diminuée.
Pitt a réduit l'impôt sur le thé et a compensé le revenu perdu en augmentant énormement l'impôt de fenêtre, qui était un impôt foncier beaucoup plus facile à imposer. L'acte de commutation de 1784 a ramené l'impôt sur le thé de 119% à 12.5%. La contrebande de thé a cessé d'être profitable et le commerce de contrebande a disparu pratiquement durant la nuit. D'une manière primordiale, le thé a été traité comme nécessité plutôt que luxe avec des implications à long terme pour des impôts inférieurs de thé.
La consommation du thé imposé inférieur a considérablement intensifié, tellement de sorte que même avec le taux réduit d'impôt, la quantité de revenu rassemblée du thé ait été bientôt reconstituée et par la suite a excédé le revenu de préréduction. Également important, le thé est devenu la boisson standard pour la majorité plus grande de la population anglaise.
Finalement, les buveurs de thé ont eu l'impôt de fenêtre à remercier de la poussée de popularité de leur boisson préférée !
Peut-être l'avantage le plus important pour le buveur consommé de thé est l'aura de la bonne réduction de sentiment et d'effort.
La production et la distribution de thé sont devenues de grandes affaires dans le monde entier en tant que les individus entreprenants et compagnies investis dans des plantations de thé et des capitaux de distribution pour satisfaire la demande croissante en thé. Pendant que les affaires augmentaient, les gouvernements nationaux ont commencé à regarder le thé comme source valable de revenu. Le règlement et l'imposition de gouvernement souvent ont eu un effet néfaste sur la satisfaction libre de commerce et de client cependant.
La croissance de popularité du thé dans un pays tel que l'Angleterre, un pays dont la culture de thé est bien établie, prévoit une étude de cas viable sur les influences sociales et fiscales sur la consommation du thé.
Pendant le seizième siècle en Angleterre, le thé est devenu une boisson populaire principalement pour les classes aristocratiques. Basé sur un goût et une réalisation uniques des prestations-maladie de thé, des canaux de distribution plus efficaces se sont ouverts. Bien que les importations aient été au commencement lentes, un arrangement croissant des avantages de style de vie du thé a accéléré cette croissance dans le 18ème siècle.
Pendant ce temps, l'imposition, la contrebande et l'adultération du thé sont devenues des facteurs significatifs dans la culture anglaise de thé.
Considérant le thé un luxe tropical, le gouvernement anglais a vu revenu-soulever des occasions dans le thé de placer un habillage militaire qui a soutenu l'expansion de l'empire britannique. Par le 18ème siècle, le thé était une boisson énormement populaire en Grande-Bretagne mais, au consommateur journalier, il était également prohibitivement cher. La contrebande de thé est devenue une industrie en expansion en Angleterre pendant que les contrebandiers profitaient pendant qu'ils satisfaisaient la demande du thé plus à prix réduit en ignorant des droits de douane accablants.
Ceci a créé une demande parmi la population britannique pour le thé meilleur marché ; quand cette demande ne pourrait pas être satisfaite par voies légales, une grande occasion a été présentée à ces gens qui étaient moins que préoccupée par casser la loi. Du début du 18ème siècle, les échanges du thé passé en contrebande se sont épanouis.
Le thé passé en contrebande était cela qui a été introduit dans le pays illégalement - il n'a pas été importé par East India Company et il n'a pas traversé des coutumes. Étant léger et facile à transporter, le thé était un produit très profitable de contrebande - encore plus que l'alcool en lequel il y avait également un commerce sain de contrebande.
L'état a besoin d'argent
Comme n'importe quel état, le 18ème siècle Angleterre n'était aucune exception à la nécessité de soulever le revenu. Le mercantilisme était la politique anglaise et une présence militaire a été exigée pour soutenir le rôle anglais en colonies et possessions d'outre-mer. L'expansion d'intérêts du monde exige deux choses : un militaire fort et fonds pour soutenir des activités militaires.
L'état cherché à droits d'entrée et des droits de régie comme manière de soulever les fonds nécessaires ; ces impôts sont bientôt devenus excessifs. Le gouvernement a dû légitimer l'impôt et a fait ainsi en traitant le thé au commencement comme « luxe » qui pourrait soutenir des fonctions élevées aux yeux du public. Plus tard, cependant, le thé a été correctement classifié comme « nécessité » qui soutiendrait seulement des niveaux plus bas de l'imposition. Avant que l'acte de réforme d'impôts de 1784 par exemple, le prix du thé ait été chargé des impôts et des taxes de plus de 100% du prix de prétaxation.
En outre, bien que l'approvisionnement en thé continué pour augmenter pendant que les plantations de thé devenaient plus productives, le prix soit resté haut pendant que les approvisionnements artificiellement manoeuvrés d'East India Company (accordée un monopole sur des importations de thé par le gouvernement anglais) pour maintenir des prix.
Les impôts élevés et l'approvisionnement manoeuvré mènent à la contrebande comme industrie en expansion
Un modèle s'est développé dans le commerce anglais dans le thé. Pendant que des impôts étaient augmentés sur des importations de thé, faire de la contrebande a augmenté dans une tentative réussie de rencontrer la croissance fondamentale de la demande. Mais la contrebande et les impôts élevés ont eu un rapport direct et ont produit un effet négatif sur l'économie anglaise et la population dans son ensemble.
Bien que l'imposition soit importante pour soulever le revenu, la plupart des économistes ont reconnu que l'imposition élevée a encouragé la contrebande et aussi que la quantité de thé étant passé en contrebande a été directement liée au niveau du devoir a prélevé sur les importations légales de thé. En Angleterre, au début du 18ème siècle, la nécessité du gouvernement de financer une guerre en Espagne menée à une augmentation de l'imposition sur le thé et au prix des feuilles a monté nettement.
L'impôt a été considéré indigne et rempli de combustible les activités des contrebandiers de thé. Le devoir plus tard a été réduit par Henry Pelham en 1745, qui a signifié que plus de thé a été légalement importé ; la quantité passant par les douanes plus que doublé et l'augmentation des importations de thé sur lesquelles le devoir a été payé réellement mené aux revenus du gouvernement à partir du thé étant augmenté.
Cependant, dans le 1750s, la nécessité de financer une autre guerre a mené à une autre augmentation du devoir sur le thé. Ceci, à leur tour, a mené à une montée subite dans les affaires des contrebandiers, qui ont continué à prospérer tout au long du troisième trimestre du 18ème siècle.
Bien qu'illégal, les contrebandiers ont eu l'appui des millions de personnes qui ne pourraient pas autrement se permettre d'acheter le thé.
Beaucoup de thé a été passé en contrebande dedans de l'Europe continentale, embarquée dans la Grande-Bretagne par l'intermédiaire des îles de la Manche et l'île de l'homme. Bien que la contrebande ait été répandue, dans les premières décennies du 18ème siècle plusieurs des contrebandiers eux-mêmes ont opéré une échelle très petite. Une masse de contrebandiers a utilisé leurs propres petits bateaux en lesquels le thé de contrebande a été alors vendu aux contacts personnels et aux commerçants locaux. La contrebande est devenue une industrie familiale.
On lui a largement reconnu, à ce jour, que la seule manière d'aborder le problème de contrebande était de rendre le thé meilleur marché - en effet, pour réduire le devoir payé là-dessus. Par conséquent, East India Company, qui a eu les alliés puissants au Parlement britannique, a incité pour que le devoir soit abaissé. La puissance du monde de corporation a été ainsi ajoutée à la demande populaire du changement permanent de l'impôt de thé.
Il était quand William Pitt plus est devenu le premier ministre en jeune 1783 que le travail des forces de devoir d'anti-thé a finalement réalisé leur but. En tant qu'ancien chancelier du ministère des Finances, Pitt était au courant de politique fiscale et de l'impact des impôts élevés sur la recette fiscale. Il a compris que cela le soulèvement du taux d'imposition fiscal a souvent eu comme conséquence la recette fiscale diminuée.
Pitt a réduit l'impôt sur le thé et a compensé le revenu perdu en augmentant énormement l'impôt de fenêtre, qui était un impôt foncier beaucoup plus facile à imposer. L'acte de commutation de 1784 a ramené l'impôt sur le thé de 119% à 12.5%. La contrebande de thé a cessé d'être profitable et le commerce de contrebande a disparu pratiquement durant la nuit. D'une manière primordiale, le thé a été traité comme nécessité plutôt que luxe avec des implications à long terme pour des impôts inférieurs de thé.
La consommation du thé imposé inférieur a considérablement intensifié, tellement de sorte que même avec le taux réduit d'impôt, la quantité de revenu rassemblée du thé ait été bientôt reconstituée et par la suite a excédé le revenu de préréduction. Également important, le thé est devenu la boisson standard pour la majorité plus grande de la population anglaise.
Finalement, les buveurs de thé ont eu l'impôt de fenêtre à remercier de la poussée de popularité de leur boisson préférée !
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